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Artistes 2020

Ann Veronica JANSSENS

Ann Veronica JANSSENS

> Par­cours 2020

Née en 1956 au Royau­me-Uni, Ann Ve­ro­ni­ca Jans­sens vit et tra­vail­le en Bel­gi­que.
La pra­ti­que ar­ti­sti­que d’Ann Ve­ro­ni­ca Jans­sens pour­rait se dé­fi­nir comme une re­cher­che basée sur l’ex­pé­rien­ce sen­so­riel­le de la réa­li­té. Par di­vers types de di­spo­si­tifs (in­stal­la­tions, pro­jec­tions, en­vi­ron­ne­men­ts im­mer­sifs, in­ter­ven­tions ur­bai­nes, sculp­tu­res), Ann Ve­ro­ni­ca Jans­sens in­vi­te le spec­ta­teur à fran­chir le seuil d’un espa­ce sen­si­tif nou­veau, aux li­mi­tes du ver­ti­ge et de l’é­blouis­se­men­t2. Dans un re­gi­stre in­spi­ré de pro­ces­sus co­gni­tif­s3 (per­cep­tion, sen­sa­tion, mé­moi­re, re­pré­sen­ta­tion), ses œuvres ten­dent vers un cer­tain mi­ni­ma­li­sme, sou­li­gnant le ca­rac­tè­re fu­gi­tif, éphé­mè­re ou fra­gi­le des pro­po­si­tions au­x­quel­les elle nous con­vie4. Spa­tia­li­sa­tion et dif­fu­sion de lu­miè­re, rayon­ne­ment de la cou­leur, im­pul­sions stro­bo­sco­pi­ques, brouil­lards ar­ti­fi­ciels, sur­fa­ces ré­flé­chis­san­tes ou dia­pha­nes sont au­tant de moyens lui per­met­tant de ré­vé­ler l’in­sta­bi­li­té de notre per­cep­tion du temps et de l’e­spa­ce. Les pro­prié­tés des ma­té­riaux (bril­lan­ce, lé­gè­re­té, trans­pa­ren­ce, flui­di­té) ou les phé­no­mè­nes phy­si­ques (ré­fle­xion, ré­frac­tion, per­spec­ti­ve, équi­li­bre, ondes) sont ici que­stion­nés avec ri­gueur dans leur ca­pa­ci­té à faire va­cil­ler la no­tion même de ma­té­ria­li­té.

ann-ve­ro­ni­ca-jans­sens sur Art­Net

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Artistes Artistes 2020

Sebastien STRAHM

Sebastien STRAHM

> Par­cours 2020

Né en 1980 à De­lé­mont. Tra­vail­le en tant qu’ar­ti­ste pla­sti­cien de­puis 2003 et en­sei­gnant d’arts vi­suels de­puis 2010.
La na­tu­re pré­pa­re-t-el­le si­len­cieu­se­ment une ré­pon­se menaçante aux dé­gra­da­tions fai­tes par l’être hu­main ? Le pay­sa­ge idyl­li­que et exo­ti­que, thé­ma­ti­que ré­cur­ren­te de Sé­ba­stien Strahm, y est abor­dé selon des poin­ts de vue dif­fé­ren­ts. La série « Maps » le pré­sen­tent co­di­fié à la façon de car­tes géo­gra­phi­ques, avec des li­gnes pein­tes mar­quant les re­liefs sur fonds de pein­tu­res où la cou­leur est li­bé­rée des re­gi­stres ha­bi­tuels de la car­to­gra­phie. D’au­tre part, l’i­ma­ge y de­vient pré­tex­te aux ex­pé­ri­men­ta­tions pic­tu­ra­les et à la pen­sée en pein­tu­re.
Au­jourd’hui, alors que le rap­port à la na­tu­re et la con­scien­ce éco­lo­gi­que de­vien­nent des que­stion­ne­men­ts cen­traux de notre so­cié­té, la pein­tu­re et son ap­pro­che poé­ti­que du sujet pay­sa­ger s’a­vè­rent pour Sé­ba­stien Strahm un moyen de ré­fle­xion sur l’a­ve­nir, à la fois in­ter­ro­ga­teur, con­tem­pla­tif et per­ti­nent.
Cen­tre cul­tu­rel de De­le­mont
SELZ art con­tem­po­rain

www.​seb​asti​enst​rahm.​net

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Artistes Artistes 2020

SARKIS

SARKIS

> Par­cours 2020

« Les in­stal­la­tions de Sar­kis, d’un pro­fond hu­ma­ni­sme, sont des mises en scène com­po­sées d’o­b­je­ts, sculp­tu­res, aqua­rel­les, pho­to­gra­phies, films, créés par l’ar­ti­ste lui-même, qui se nour­ris­sent de ré­fé­ren­ces à l’hi­stoi­re, la phi­lo­so­phie, les re­li­gions, les arts ou la géo­po­li­ti­que. »
© Nar­thex

« L’ar­ti­ste français est aussi le fon­da­teur de la Bien­na­le d’I­stan­bul, sa ville na­ta­le (1938), sa ville de cœur, sa ville d’été. Sar­kis a une ma­niè­re com­plè­te­ment per­son­nel­le d’u­ti­li­ser l’i­ma­ge, en poète qui sait que la mé­ta­pho­re vaut tous les di­scours et ex­clut tou­tes les armes. Il en a fait la pre­u­ve ma­gni­fi­que dans les com­bles du château de Chau­mont-sur-Loi­re. Comme dans son ex­po­si­tion con­cep­tuel­le et sen­si­ble au sein du tout nou­veau musée Arter d’I­stan­bul que la fa­mil­le Koç vient d’i­nau­gu­rer, au mo­ment où s’ou­vrait la 16e Bien­na­le d’I­stan­bul. Il suf­fit de le voir, en­tou­ré de jeu­nes ar­ti­stes qui l’é­cou­tent comme un phi­lo­so­phe sur l’a­go­ra, pour sai­sir sa di­men­sion sur la scène stam­bou­lio­te. »
© Va­lé­rie Du­pon­chel­le, 2019

www.​sarkis.​fr

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Pierre-Yves FREUND

Pierre-Yves FREUND

> Par­cours 2020

Né en 1951, Pier­re-Yves Freund vit et tra­vail­le à Au­ge­rans dans le Jura. Ses œuvres sont mon­trées ré­gu­liè­re­ment dans des ex­po­si­tions in­di­vi­duel­les ou col­lec­ti­ves : au Musée des Beaux-Arts de Besançon (2019), à la Fon­da­tion Fer­net-Bran­ca de Saint-Louis (2019), à la ga­le­rie Françoise Pa­viot (2019,2017), au Musée du Temps de Besançon (2018), au Cen­tre Cul­tu­rel Français de Frei­burg (2016, 2007), au FRAC Fran­che Comté à Besançon (2015), au Musée des Beaux-Arts de Bel­fort (2015), à la Con­fec­tion Idéa­le de Tour­coing (2014), au CRAC de Mont­bé­liard (2013), à la ga­le­rie Lil­le­bon­ne à Nancy (2011), au Musée Baron Mar­tin à Gray (2007), au Musée des Beaux-Arts de Lons le Sau­nier (2004).

Dans l’œuvre —es­sen­tiel­le­ment des sculp­tu­res— de Pier­re-Yves Freund, le choix du ma­té­riau est dé­ter­mi­nant : ses qua­li­tés po­ten­tiel­les, sa pla­sti­ci­té et sa ré­si­stan­ce, vont en­sui­te en­gen­drer le geste qui pro­dui­ra une forme. Quel­que­fois, le ha­sard n’est pas aussi étran­ger à son tra­vail. Le spec­ta­teur in­ter­vient dans la per­cep­tion du tra­vail de Pier­re-Yves Freund, no­tam­ment par la po­si­tion et les mou­ve­men­ts de son corps.

Ex­po­si­tions per­son­nel­les et col­lec­ti­ves :

2019 :
. Comme un sou­ve­nir : Anne Im­me­lé, Dove Al­lou­che, Pier­re-Yves Freund ,
Fon­da­tion Fer­net-Bran­ca, Saint-Louis.
. Ren­dez-vous à Saint Briac, Ga­le­rie Françoise Pa­viot.
. Et le dé­sert avan­ce, Musée des Beaux-Arts, Besançon.
2018 :
. Faux sem­blant, Talm et Rue sur vi­tri­ne, An­gers.
. Un in­stant ima­gi­né exi­ster à vos yeux, Col­lec­tif Blast, An­gers.
. Guer­re aux dé­mo­lis­seurs, Musée du Temps, Besançon.
. Ce bleu exac­te­ment Espa­ce pour l’art Lae­ti­tia Tal­bot, Arles.
. Stra­sbourg Art Pho­to­gra­phy.
2017 :
. L’é­chap­pé, La Col­li­ne, Fla­vi­gny.
. Ren­dez-vous à Saint Briac, in­vi­té par la Ga­le­rie Françoise Pa­viot.
. FIAC, Ga­le­rie Françoise Pa­viot, Paris.
2016 :
. Un rien trou­ble, Cen­tre Cul­tu­rel Français, Frei­burg.
2015 :
. NoirT, Pou­driè­re Haxo, Musée des Beaux-Arts, Bel­fort .
. Chez Ro­bert, FRAC Fran­che Comté, Besançon.
. Chaus­se-Trap­pes, ap­par­te­ment du Di­rec­teur, Col­lè­ge Gérôme, Ve­soul.
. Ces­sez le feu, La Vi­tri­ne02, Etreux.
2014 :
. Tom­ber la[s], Le 180, Té­te­ghem, 59
. Ac­croc, La Con­fec­tion Idéa­le, Tour­coing
2013 :
. Entre chien et loup, CRAC Le 19, Mont­bé­liard.
. Trois fois rien, CRAC Le 19, Mont­bé­liard.
. En­sui­te être, Cha­pel­le Sain­te Marie, GAC An­no­nay.
. A la barbe de la sain­te, bou­le­ver­se­ment des ter­ri­toi­res, Le Mètre Carré, Val­lée de
la Fen­sch, Famek.
2012 :
. Li­mi­te in­fé­rieu­re de rien, Château de L’É­chel­le, La Roche sur Foron.
2011 :
. Sculp­tu­re en l’île Nancy, An­dré­sy, 93.
. C’est ainsi. Ate­lier Ar­chi­pel en Arles, 13.
. En­tre-Temps, Ga­le­rie du Gra­nit, Bel­fort, 90, ren­con­tre avec Blan­ca Casas Brul­let.
. Dé­ser­ran­ce, Ga­le­rie Lil­le­bon­ne, Nancy, 54.
2010 :
. Une nuit / Eine Nacht, For­ba­ch, 57.
. Ate­lier re­fu­ge, sur le Sen­tiers des Lau­zes, Ar­dè­che.
. Ren­con­tres N°34, La Vigie, Nîmes.
2009 :
. Une pro­xi­mi­té plei­ne de plu­sieurs mon­des, avec Ar­naud Vas­seux, Esox Lu­cius,
Ligny en Brion­nais.
2007 :
. Pé­ri­ples, Musée Baron Mar­tin, Gray, 70, CRAC le 19.
. Vers le blanc, Cen­tre Cul­tu­rel Français de Frei­burg.
2004 :
. ça dé­pend d’el­le, Musée des Beaux Arts, Lons Le Sau­nier.

www.​pyfreund.​net

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Pierre TATU

Pierre TATU

> Par­cours 2020

L’ar­ti­ste français Pier­re Tatu naît en 1957 à Besançon. Le tra­vail de Pier­re Tatu in­ter­ro­ge les con­tex­tes d’ap­pa­ri­tion des va­leurs esthé­ti­ques. Son tra­vail se nour­rit de la di­stan­ce cri­ti­que qu’il main­tient face au pro­ces­sus créa­tif sans ou­tre­pas­ser ce qui est de l’or­dre du con­stat ou plus en­co­re de la con­sta­ta­tion. Ses pro­po­si­tions pla­sti­ques sont sou­vent des ma­niè­res de s’ef­fa­cer plus que de s’a­don­ner à l’e­xer­ci­ce d’un com­men­tai­re, voire à celui d’une au­to­ri­té.
Si ses choix se font en di­rec­tion de cer­tains ob­je­ts ou ré­fé­ren­ts de notre espa­ce fa­mi­lier et par­fois en pren­nent l’ap­pa­ren­ce, c’est en pre­mier lieu pour leur pou­voir d’in­de­xa­tion de l’e­spa­ce à des si­tua­tions où do­mi­ne­rait notre désir de repli, d’un repos, d’une forme de dé­ta­che­ment ou de relâche­ment men­tal et/ou phy­si­que, « à che­val entre sen­si­bi­li­té et ennui ».

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Pascal BROCCOLICHI

Pascal BROCCOLICHI

> Par­cours 2020

Les œuvres de Pa­scal Broc­co­li­chi don­nent à écou­ter des phé­no­mè­nes im­per­cep­ti­bles, un en­sem­ble d’on­des et de vi­bra­tions qui ré­vè­lent les ter­ri­toi­res au­di­bles dans tou­tes leurs di­men­sions. Adop­tant une dé­mar­che pro­che de celle du scien­ti­fi­que ou du to­po­gra­phe, il col­lec­te mé­tho­di­que­ment des sons pour ten­ter de con­sti­tuer l’ar­chi­va­ge d’un espa­ce, pour en faire res­sur­gir, à l’ai­de d’un ap­pa­reil­la­ge tech­ni­que ap­pro­prié, une mé­moi­re en­fouie, un temps aussi im­mé­diat qu’im­mua­ble. Le lieu d’ex­po­si­tion de­vient à la fois le ré­cep­ta­cle de l’œuvre et sa ma­tiè­re pre­miè­re. Pa­ral­lè­le­ment à ses in­stal­la­tions et ses sculp­tu­res-ma­chi­nes à l’e­sthé­ti­que épu­rée, il mène de­puis une tren­tai­ne d’an­née une pra­ti­que d’en­re­gi­stre­ment de ter­rain sur tou­tes les ré­gions de la pla­nè­te. Dans ces en­vi­ron­ne­men­ts in­so­li­tes, le son de­vient là en­co­re le vec­teur d’une écou­te ex­pé­ri­men­ta­le, d’une per­cep­tion met­tant en jeu tout le corps dans son par­cours de l’e­spa­ce où l’i­ma­gi­nai­re est sti­mu­lé par la ren­con­tre des élé­men­ts pho­ni­ques et vi­suels.

Lors d’une ré­si­den­ce au FRAC Fran­che-Com­té en 2018-2019, Pa­scal Broc­co­li­chi a posé ses mi­cros dans un vaste ter­ri­toi­re in­fré­quen­té al­lant des som­me­ts du Haut-Ju­ra ju­squ’au Pla­teau des Mille Étangs en Hau­te-Saône. Au cœur de ces forêts pro­fon­des et re­cu­lées, son tra­vail a con­si­sté à mener une ex­plo­ra­tion audio na­tu­ra­li­ste en in­stal­lant des affûts pour cap­ter et ha­bi­ter, par­fois même la nuit, la bio­pho­nie re­mar­qua­ble de cette éten­due so­no­re en mou­ve­ment per­pé­tuel. Au terme d’une année d’ex­plo­ra­tion, il a pour­sui­vi en­sui­te un tra­vail de com­po­si­tion et de mi­xa­ge en es­sa­yant de re­trou­ver, à tra­vers les haut-par­leurs du stu­dio, des sen­sa­tions et des éner­gies vé­cues sur le ter­rain comme une épais­seur du temps à la fois men­ta­le et réel­le.

Pa­scal Broc­co­li­chi est ex­po­sé dans des cen­tres d’art et des mu­sées comme le FRAC Fran­che-Com­té, (Besançon), la Ma­ré­cha­le­rie Cen­tre d’art con­tem­po­rain (Château de Ver­sail­les), Bozar Pa­lais des Beaux-arts, Bru­xel­les, la Fon­da­tion Maeght (Saint-Paul-de-Ven­ce), l’E­spa­ce de l’Art Con­cret (Mouans-Sar­toux), le Pa­lais de Tokyo (Paris), le CAPC musée d’art con­tem­po­rain (Bor­deaux), le La­bo­ral Cen­tro de Arte y Crea­ciòn In­du­strial (Gijon) et dans des fe­sti­vals tels que le Fren­ch May (Hong Kong), le Korea Road­show (Gyeon­g­ju-Seoul), le Ska­nu­Mezs fe­sti­val, (Ri­ga-Let­to­nie), le Fe­sti­val de Flan­dre (Cour­trai-Bel­gi­que).

www.​pas​calb​rocc​olic​hi.​com

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Artistes Artistes 2020

Line MARQUIS

Line MARQUIS

> Par­cours 2020

Line Mar­quis est née en 1982 dans le Jura suis­se et a gran­di à Cour­cha­poix. Après son diplôme ob­te­nu à l’HEAD de Ge­nè­ve en 2009, son ate­lier se situe main­te­nant à Lau­san­ne. De­puis elle a bé­né­fi­cié des ex­po­si­tions per­son­nel­les à Lau­san­ne (Ga­le­rie Forma, Spa­ce-Sta­tion), à De­lé­mont (Ar­se­nal), à Bien­ne (Lokal Int) et a par­ti­ci­pé à de nom­breu­ses ex­po­si­tions col­lec­ti­ves à Neuchâtel (ga­le­rie C), Mou­tier (Musée ju­ras­sien des Beaux-Arts), Lau­san­ne (MCBA, ga­le­rie Ger­ber), Fri­bourg (Ate­lier Tram­way).
Line Mar­quis pra­ti­que es­sen­tiel­le­ment la pein­tu­re-sou­vent en grand for­mat- et la gra­vu­re. Elle re­pré­sen­te des pay­sa­ges aux cou­leurs ima­gi­nai­res et très vives qui nous em­mè­nent vers des voya­ges oni­ri­ques. Mais ces pay­sa­ges sont aussi ha­bi­tés par des per­son­na­ges qui nous ra­mè­nent vers un « amour de la vie et des hu­mains ». Ceci nous rap­pel­le que Line mar­quis a suivi une dou­ble for­ma­tion : un ba­che­lor en tra­vail so­cial et un diplôme dans l’art.

Ex­po­si­tions per­son­nel­les et col­lec­ti­ves :

2019 :
. Bad News, Ga­le­rie du So­leil, Sai­gne­lé­gier
. Atlas, Ga­le­rie Forma, Lau­san­ne
2018 :
. Pink Pla­ces, Ar­se­nal, De­lé­mont
. Pre­sent sim­ple, Espa­ce Ca­the­ri­ne Col­lomb, Saint Prex
. Can­to­na­le, Musée ju­ras­sien des Beaux-Arts, Mou­tier
. In­ti­me(s), Ga­le­rie C, Neuchâtel.​Biennale Vi­sar­te Jura, Fours à Chaux, Saint Ur­san­ne
2017 :
. Im­pres­sion 2017, Kun­sthaus Gren­chen
2016 :
. Der­riè­re les lau­riers, Les Hal­les, Por­ren­truy
. Pa­pier Bitte!, Ga­le­rie C, Neuchâtel
. Au gueu­lard, Bien­na­le vi­sar­te Jura, Sain­te Ur­san­ne
. Ac­cro­cha­ge Vaud, MCBA, Lau­san­ne
2015 :
. Can­to­na­le, Kun­sthaus, Thun.
. Can­to­na­le, Cen­tre Pa­squart, Bien­ne
. Traümland, Ate­lier Tram­way, Fri­bourg
. In­vi­tées, Ga­le­rie Ger­ber, Lau­san­ne
. Eten­da­ge, Space Sta­tion, Lau­san­ne
2014 :
. Viel­les mai­tres­ses, Spa­ce-sta­tion, Lau­san­ne
. Va­can­ces en Suis­se, Lokal Int, Bien­ne
. Ac­cro­cha­ge Vaud, MCBA, Lau­san­ne
. Lu­pa­nar, ga­le­rie Forma, Lau­san­ne
2013 :
. Can­to­na­le, Musée des Beaux-Arts, Mou­tier
. Can­to­na­le, Cen­tre Pa­squart, Bien­ne
. Once upon a time, Ga­le­rie C, Neuchâtel
. Ac­cro­cha­ge Vaud, MCBA, Lau­san­ne
. Let’s fight again­st apo­ca­lyp­se, Espa­ce Dé­mart, Lau­san­ne
2012 :
. Kie­fer Hal­bi­tzel, Bâle
. Over­ga­med, Villa Du­toit, Ge­nè­ve
2011 :
. Rison to bi­li­ve, ga­le­rie Davel 14, Cully
. En fa­mil­le, Espa­ce d’art Arts­e­nal, De­lé­mont
. Ac­cro­cha­ge Vaud, MCBA, Lau­san­ne
. Born, Ga­le­rie C, Neuchâtel
. The har­der they come, Du­plex, Ge­nè­ve2009:
. Des­sins, Ga­le­rie Sy­nop­sis, Lau­san­ne

li­ne­mar­quis.net

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Julie MOREL

Julie MOREL

> Par­cours 2020

Née en 1973 à Lyon, Julie Morel ré­si­de et tra­vail­le à Paris, après des étu­des à l’É­co­le na­tio­na­le des Beaux-Arts de Lyon et à l’É­co­le na­tio­na­le su­pé­rieu­re des Beaux-Arts de Paris. Elle en­sei­gne main­te­nant à l’E­co­le Eu­ro­péen­ne Su­pé­rieu­re d’Art de Bre­ta­gne. Son tra­vail est ex­po­sé ré­gu­liè­re­ment dans des in­sti­tu­tions pu­bli­ques, pri­vées ou des ga­le­ries : Cen­tre d’Art Con­tem­po­rain Espa­ce Gant­ner à Bou­ro­gne (2019), la ga­le­rie Hawn à Dal­las aux USA (2018), le cen­tre d’art con­tem­po­rain de La Nou­vel­le Or­léans aux USA (2017), Le Bel Or­di­nai­re cen­tre d’art con­tem­po­rain à Pau (2016), Le Quar­tier Cen­tre d’art à Quim­per (2015), à Pas­se­rel­le, Cen­tre d’art con­tem­po­rain de Brest (2015), la ga­le­rie des éta­bles à Bor­deaux (2014), le cen­tre d’art de la Mai­son Po­pu­lai­re de Mon­treuil (2014), Le Stu­dio 1316 du Cen­tre Pom­pi­dou à Paris (2013), la ga­le­rie Pla­te­for­me à Paris (2013, 2012), Le Bon Ac­cueil Espa­ce d’art con­tem­po­rain à Ren­nes (2012), le Gla­sgow Sculp­tu­re Stu­dios à Gla­sgow (2012).
Plu­sieurs ré­si­den­ces ja­lon­nent son par­cours : à Mons en Bel­gi­que, au Loui­sia­na State Mu­seum de la Nou­vel­le-Or­léans aux USA, à la Gaité Ly­ri­que à Paris, au Bel or­di­nai­re à Pau…En 2016, elle est lau­réa­te de la Villa Mé­di­cis Hors-les-murs. De­puis 2016, elle coor­don­ne In­ci­dent.res, une ré­si­den­ce d’é­cri­tu­re en arts, avec l’ai­de fi­nan­ciè­re de la Drac Bour­go­gne. En 2017-2018, elle est la lau­réa­te du pro­gram­me « Pra­ti­ques sin­gu­liè­res, ar­ti­ste en ré­si­den­ce » à l’U­QAM Mon­tréal. En 2017-2018, elle est la lau­réa­te du pro­gram­me « Pra­ti­ques sin­gu­liè­res, ar­ti­ste en ré­si­den­ce » à l’U­QAM Mon­tréal.
En 2019, elle est lau­réa­te de l’Ai­de In­di­vi­duel­le à la Créa­tion (DRAC Bour­go­gne-Fran­che-Com­té / Fran­ce-USA). Son tra­vail est ali­men­té par une vo­lon­té d’in­ter­ro­ger les re­la­tions quo­ti­dien­nes qu’en­tre­tient l’Hom­me avec le lan­ga­ge. Ses re­cher­ches sont sou­vent di­ri­gées vers la lit­té­ra­tu­re et le texte qu’el­le en­vi­sa­ge comme une image tem­po­rel­le dont elle se sert pour pro­dui­re in­stal­la­tions, vi­déos li­néai­res, gé­né­ra­teurs de tex­tes dy­sle­xi­ques, per­for­man­ces et col­la­bo­ra­tions. Ces pro­duc­tions, tou­jours à la li­mi­te de la vi­si­bi­li­té/ li­si­bi­li­té, font se de­man­der si l’on est au com­men­ce­ment du mot et de la nar­ra­tion ou au stade de l’ef­fa­ce­ment final.
En pa­ral­lè­le de ses pro­je­ts pla­sti­ques liés au lan­ga­ge, elle mène des enquêtes « de ter­rain » qui la con­dui­se à des col­la­bo­ra­tions avec d’au­tres champs di­sci­pli­nai­res (l’é­di­tion, la so­cio­lo­gie, la car­to­gra­phie, l’ar­chi­tec­tu­re…) et qui la pous­se à éprou­ver et que­stion­ner sa pro­duc­tion ainsi que celle de ses col­la­bo­ra­teurs.

Ex­po­si­tions per­son­nel­les et col­lec­ti­ves :

2019 :
. « Ha­da­ly et So­wa­na, cy­borgs et sor­ciè­res », Cen­tre d’art con­tem­po­rain Espa­ce Gant­ner, Bou­ro­gne2018 :
. « Clear, Deep, Dark », The En­gi­ne Room, La Nou­vel­le-Or­leans, USA
. « Clear, Deep, Dark », The Hawn Gal­le­ry, Dal­las, USA
2017 :
. « Ephe­me­ra Ob­scu­ra » / « Ghosts -A.F.K. », Cen­tre d’art con­tem­po­rain, La Nou­vel­le-Or­léans, USA
2015 :
. « A.F.K. », Le quar­tier Cen­tre d’art, Quim­per
. dans le cadre du pro­jet « L’art Ra­ci­ne », La Criée Cen­tre d’art, Ren­nes
. Com­mis­sa­riat, pro­po­si­tions pour « Shake What your Mama Gave you », Pas­se­rel­le Cen­tre d’art, Brest 2014 :
. « Neu­tral Ground », Loui­sia­na State Mu­seum, La Nou­vel­le-Or­léans, USA
. « A.F.K. », Ga­le­rie des éta­bles, Bor­deaux
. « Rheum No­bi­le », La Mai­son po­pu­lai­re & In­stan­ts cha­vi­rés, Mon­treuil
2013 :
. « Love », Cen­tre Pom­pi­dou – Stu­dio 1316, Paris
. « Au­ba­mo » / « Ex­pé­rien­ce du récif », Ga­le­rie Pla­te­for­me, Paris
2012 :
. « Bonus Track », Ga­le­rie Pla­te­for­me, Paris
. « Leur Lu­miè­re » / « Light my Fire », Ab­baye de Saint Ri­quier
. « Data Map­ping Island », Gla­sgow Sculp­tu­re Stu­dios, Gla­sgow, UK
. « Stra­té­gie des espa­ces » / « A Py­rhic Vic­to­ry », BBB Cen­tre d’art, Tou­lou­se

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Artistes Artistes 2020

Jingfang HAO & Lingjie WANG

Jingfang HAO & Lingjie WANG

> Par­cours 2020

Lin­g­jie Wang et Jing­fang Hao sont nés re­spec­ti­ve­ment en 1985 et 1984 en Chine. Ils vi­vent et tra­vail­lent à Mu­lhou­se et à Shan­ghai. Ces der­niè­res an­nées, leurs œuvres ont été mon­trées dans de nom­breu­ses ex­po­si­tions in­di­vi­duel­les ou col­lec­ti­ves : Shan­ghai (2019), FRAC Al­sa­ce (2019), Pékin (2017), à la Bien­na­le de Lyon (2017), Ge­nè­ve (2017), Wuhan(2014), Paris (2013), FRAC Lor­rai­ne de Metz (2013).
En 2019, ils sont nom­més parmi les Ta­len­ts Con­tem­po­rains ré­com­pen­sés par la Fon­da­tion François Schei­der de Watt­wil­ler.
Leurs tra­vaux font par­tie des col­lec­tions du FRAC Lor­rai­ne, du musée de la Cour d’Or de Metz, de l’e­Moc de Shen­z­hen, du Wuhan Art Mu­seum de Wuhan et de l’as­so­cia­tion Pu­svi­te (ré­gion Grand Est).
La bi­po­la­ri­té que l’on re­trou­ve dans le taoïsme ca­rac­té­ri­se l’œuvre de Lin­g­jie Wang et Jing­fang Hao. Ainsi, ils s’in­spi­rent de la cul­tu­re chi­noi­se et pui­sent beau­coup dans l’art oc­ci­den­tal. Leur tra­vail peut s’ap­pa­ren­ter à l’art con­cep­tuel avec sa ri­gueur scien­ti­fi­que et car­té­sien­ne ; mais sub­si­ste aussi une vi­sion poé­ti­que voir sen­suel­le du monde.
Bien sou­vent, c’est le pro­ces­sus de créa­tion qui est le plus im­por­tant. Pour Hao et Wang, le re­gard et l’in­ter­pré­ta­tion du vi­si­teur comp­tent plus qu’un di­scours ex­té­rieur. Quel­que­fois, c’est la par­ti­ci­pa­tion du re­gar­deur est sol­li­ci­tée ; ses sen­sa­tions et sa mé­di­ta­tion per­met­tent alors d’ap­pré­hen­der des phé­no­mè­nes sous-ja­cen­ts.

Ex­po­si­tions per­son­nel­les et col­lec­ti­ves :

2019 :
. The Pro­cess of Art, Power Sta­tion of Art, Shan­ghai
. Lau­réat des Ta­len­ts Con­tem­po­rains, fon­da­tion François Schei­der, Watt­wil­ler
. Tran­smer­gen­ce#01, FRAC Al­sa­ce, Sé­le­stat
2017 :
. Jing­fang Hao & Lin­g­jie Wang White Space, Pekin
. 62ème salon de Mon­trou­ge
. 14ème bien­na­le de Lyon
. les Uni­tés/Espa­ce Té­moin, Ge­nè­ve
2016 :
. This co­ming sum­mer is al­rea­dy gone, MoCA, Shan­ghai
2015 :
. A Round Sun A Dot, M Art cen­ter, Shan­ghai
. d’un geste à l’au­tre, ga­le­rie du Théâtre, Pri­vas
2014 :
. Etoi­le ma­gi­que, La ga­le­rie Le Préau, Nancy
. Cli­ma­te, Wuhan Art Mu­seum, Wuhan
. On dit que…dans la foret, La lune en Pa­ra­chu­te, Epi­nal
2013 :
. Le BU­REAU in­vi­te Er­ga­stu­le, Le BU­REAU, PARIS
. Ghost Town #3, as­so­cia­tion La Sai­son Vidéo, Lille
. Un abé­cé­dai­re con­tem­po­rain, la Gaité Ly­ri­que, PAR

www.​wanglingjie.​com

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Artistes Artistes 2020

Elisabeth S. CLARK

Elisabeth S. CLARK

> Par­cours 2020

Eli­sa­be­th S. Clark, née en 1983, vit et tra­vail­le entre Lon­dres et la Mayen­ne. Elle est diplômée de la Slade School of Fine Art en 2008 et du Gold­smi­ths Col­le­ge (Lon­dres) en 2005. Elle a ex­po­sé no­tam­ment : à la Bien­na­le de Lyon (2017), au Pa­lais de Tokyo (2013, 2011), à la Fon­da­tion Ri­card (2012), au Le Forum à Tokyo (2014), au Gyeong­gi Crea­tion Cen­ter en Corée du Sud (2016), au Wo­burn Re­sear­ch Cen­tre à Lon­dres (2016). La ga­le­rie Do­hyang Lee l’ac­com­pa­gne et l’a mon­trée pen­dant de nom­breu­ses ma­ni­fe­sta­tions in­ter­na­tio­na­les.

Eli­sa­be­th S. Clark a reçu plu­sieurs prix, dont une bour­se de voya­ge en Amé­ri­que du Sud en 2009 et le Clare Win­sten Re­sear­ch Fel­lo­w­ship Award en 2008. Elle a été ré­si­den­te du Pa­vil­lon au Pa­lais de Tokyo en 2011, de la Fon­da­tion d’en­tre­pri­se Her­mès en 2010 et plus ré­cem­ment, en ré­si­den­ce à New York, Me­del­lin, Bad Ems. Elle fait par­tie des col­lec­tions du CNAP, du FRAC Fran­che-Com­té, de la Fon­da­tion d’en­tre­pri­se Her­mès, de la Tate Gal­le­ry, de plu­sieurs col­lec­tions pri­vées…

Dans son tra­vail, Eli­sa­be­th S. Clark uti­li­se très sou­vent des li­vres qu’ils so­ient des ro­mans, des ré­ci­ts hi­sto­ri­ques, des in­struc­tions… A par­tir de ce ma­té­riau, elle con­struit des per­for­man­ces, des in­stal­la­tions ou des sculp­tu­res. Elle s’in­té­res­se au lan­ga­ge, aux sons, au temps, aux scien­ces. Avec des moyens sim­ples, elle nous con­duit vers une ré­fle­xion et une com­pré­hen­sion lar­ges. Sa dé­mar­che poé­ti­que ou mu­si­ca­le se tra­duit sou­vent par des ap­pa­ri­tions et des di­spa­ri­tions.

Ex­po­si­tions per­son­nel­les et col­lec­ti­ves :

2018 :
. Less is more, Ga­le­rie du Crous, Paris
. Bien­ve­nue Art Paris, Cité in­ter­na­tio­nal des arts, Paris
2017 :
. Mon­des Flot­tan­ts, 14ème bien­na­le de Lyon
2016 :
. Me­mo­ry Sto­ra­ge, Gyeong­gi-do, Corée du sud
. Mousaî/muses, Ga­le­rie Do­hyang Lee, Paris
. Work in Pro­gress, Wo­burn Re­sear­ch Cen­tre, Lon­dres, GB
2015 :
. Trea­su­re Hunt, FIAC hors les murs, Jar­din des Plan­tes, Paris
2014 :
. Con­den­sa­tion, le Forum, Tokyo, Japon
. A Por­trait of The Pas­sing of Time, Ga­le­rie Do­hyang Lee, Pa­ri­s2013 :
. Let’s think of a title when we meet, Globe Gal­le­ry, New­ca­stle, GB
. Con­den­sa­tion, nou­vel­les va­gues, Pa­lais de Tokyo, Paris
2012 :
. N’EI­THER N’OR, ga­le­rie Maris Cini, Paris
. Cà et Là (This & There), Fon­da­tion Ri­card, Paris
. En un clin d’œil (01h 59mm 60s), Bad Ems, Al­le­ma­gne
2011 :
. Le Rayon vert, Pa­lais de Tokyo, Paris

www.​eli​sabe​thsc​lark.​com

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Artistes Artistes 2020

Charles DREYFUS

Charles DREYFUS

> Par­cours 2020

Après une li­cen­ce en hi­stoi­re de l’art et une maîtrise sur la par­ti­ci­pa­tion du pu­blic, il com­men­ce en 1973 un doc­to­rat sur Flu­xus. Dès 1972, il re­joint Jean Dupuy à New York ; pour sa thèse, il réa­li­se en 1974 la pre­miè­re in­ter­view de Geor­ge Ma­ciu­nas et la même année, il or­ga­ni­se avec Ben Vau­tier le mé­mo­ra­ble con­cert Flu­xus au Musée Gal­lie­ra dans le cadre du Fe­sti­val d’Au­tom­ne. En dé­cem­bre, avec Ca­the­ri­ne Thieck, au Musée d’Art Mo­der­ne de la Ville de Paris, il pré­sen­te Flu­xus/Elé­men­ts d’in­for­ma­tion.
À par­tir de 1972, il sé­jour­ne ré­gu­liè­re­ment à New York, où il par­ti­ci­pe à l’a­vant-gar­de ar­ti­sti­que ; en 1975, il ren­con­tre l’ar­ti­ste pein­tre sué­doi­se Bar­bro Östlihn et côtoie ses amis ar­ti­stes Ro­bert Rau­schen­berg, Ja­sper Johns, Claes Ol­den­burg, Allan Ka­prow, John Cage, Pon­tus Hul­ten, Billy Klüver… Ré­dac­teur en chef et avec Mi­chel Gi­roud de Kanal Ma­ga­zi­ne du­rant sept ans, pré­si­dent de l’as­so­cia­tion L’a­van­ce ar­ti­sti­que, édi­teur du jour­nal d’art con­tem­po­rain Om­ni­bus, il est le cor­re­spon­dant de la revue qué­bé­coi­se Inter Art Ac­tuel. Il or­ga­ni­se de nom­breux con­certs Flu­xus… Il pro­duit des per­for­man­ces et de la poé­sie-ac­tion. Son œuvre ra­mè­ne le spec­ta­teur vers la mé­ta­mor­pho­se d’une ap­pa­ren­ce à une idée, en lui per­met­tant d’y trou­ver son sens mé­ta­pho­ri­que. Il ex­po­se ré­gu­liè­re­ment à la ga­le­rie Lara Vincy à Paris. En 2009, il est doc­teur en phi­lo­so­phie, avec une thèse sur Flu­xus, théo­ries et pra­xis.

char­les.​dreyfus.​free.​fr

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Artistes Artistes 2020

Bob GRAMSMA

Bob GRAMSMA

> Par­cours 2020

Bob Gram­sma est né à Uster en Suis­se en 1963 et vit à Zu­ri­ch. Ces der­niè­res an­nées, ses œuvres ont été mon­trées dans de nom­breu­ses ex­po­si­tions in­di­vi­duel­les ou col­lec­ti­ves. Bob Gram­sma réa­li­se des in­stal­la­tions ou des sculp­tu­res, il mo­di­fie et oc­cu­pe l’e­spa­ce avec ses œuvres. Il trai­te de l’art dans l’e­spa­ce pu­blic, de la vidéo et de la pho­to­gra­phie. Bob Gram­sma a été formé en Suis­se et aux Pays-Bas ; en 2001, il était à Los An­ge­les pour un sé­jour en stu­dio et à New York de 2002 à 2003. Il trai­te de l’in­te­rac­tion entre l’ espa­ce réel et l’ espa­ce men­tal et façonne des « in­ven­tions spa­tia­les pro­ches » : clai­re­ment dé­fi­nies et en même temps, en rai­son de leurs fron­tiè­res qui se dis­sol­vent en per­ma­nen­ce, des espa­ces qui ne peu­vent pas être clai­re­ment dif­fé­ren­ciés : espa­ces so­ciaux, non phy­si­ques.

www.​bobgramsma.​com